[URSS/IJA] Sous les arbres rouges…

Les hordes soviétiques défient une nouvelle fois le puissant empire du Soleil Levant. L’état Major de Son Altesse Impériale à Chargé le 1er Lieutenant Oba de rabattre leurs orgueilleuses prétentions.

A la tête d’un contingent de la redoutable infanterie impériale, soutenu par de l’artillerie, des équipes de spécialistes et rien de moins qu’un char moyen, il doit sécuriser trois objectifs d’importance capitale.


Bon fatalement, l’infanterie redoutable se limite à deux escouades de réguliers sans grenades ni mitrailleuse, l’artillerie c’est un bête 70mm régimentaire et le char « moyen » c’est un I-Go qui devrait être au rebut depuis les années 30. Ça sent un peu le pâté pour Oba cette histoire.

Les soviétiques de toute façon, ne sont que des moujiks venus du froid et des repris de justice qui ont gagné par chance à Kalkin-Ghol, non?


Bon, par chance, les soviétiques ont effectivement envoyé une force globalement équivalente qui, si elle est bien équipée, dispose d’une expérience en dent de scie. Leur lieutenant dirige le meilleur, tel le petit groupe de cinq vétérans du front de l’Ouest, comme le pire, comme en témoigne le groupe de Shatrafniki peu motivés dont certains n’ont même pas d’armes. Il peut compter sur un ZiS3 approvisionné en obus perforant et anti-personnel servit par équipage vétéran également. Mais le reste de ces troupes est formé de novices. Un groupe lmg polonais qui se demandent encore ce qu’il font là, une section complète de conscrit fraichement débarqués encore dans l’idée de tuer Adolf, un équipage de T34/85 fort de 48mn d’instruction, pause repas comprise et un commissaire politique, comme à la grande époque, pour encadrer le tout.

La zone des combats serait presque ouverte, ne fussent quelques impénétrables bosquets d’arbres, un peu de relief et un champs mûr pour la récolte.


Le monde, vu côté soviet.

Les objectifs, objet du litige sont aisément repérables, mas difficilement transportables. Il s’agit de chocolat d’Halloween. Leur emballage orange ne permettant pas de trancher entre rouge et jaune, l’affrontement était inévitable.


« Y’a définitivement des gens quelque part, qui se foutent de nos gueules », se dit le Lieutenant Oba

Les premières troupes arrivent sur le champs de bataille. Prudemment…

Coté soviétique, il s’agit d’une escouade LMG qui se trouve une certaine affection pour un rocher fort pratique sur le flanc ouest.


« Tu vois un truc Woclav? »

Coté nippon, c’est une escouade de fantassin qui s’avance, en position centrale et à découvert. Mais sans courir pour autant…


« Gunso, on est vraiment là pour du chocolat d’halloween? »
« … »

Rapidement, les polonais inexpérimentés sont suivis par les vétérans russes, au pas de course, porté par le patriotisme.


« Les Jaunes n’auront pas le chocolat! »

Et la présence d’un commissaire qui les talonne de prêt. Le type rigole pas, il a déjà sortit son révolver d’ordonnance.


« J’en vois un qui lambine là! »

De l’autre coté du champs de bataille, c’est le ZiS3 qui fait son entrée. Près du flanc Est.


Ça a l’air de réjouir la citrouille…

En position centrale les conscrits soviétiques se ruent en avant!
« Je veux pas jouer les rabats joie mais Berlin, c’est pas à l’Ouest? »
« Sans doute la propagande fasciste… »

Mais les japonais commencent eux aussi à arriver sur le champs de bataille, à commencer par l’équipe de Tireur d’élite de Hiro. Qui aurait pu être déjà infiltré sur le terrain, mais un sabotage d’oreiller l’en aura empêché.

Puis toujours au centre, c’est le canon de 70 court qui fait son apparition. La pièce est mise en batterie en quelque seconde par son équipage.

Ces développements n’échappent pas au lieutenant soviétique, qui vient d’arriver. Dépourvu de garde du corps ou d’ordonnance, il préfère ne pas s’exposer mais se place de manière à pouvoir directement s’occuper de son artillerie et de sa bleusaille.

A l’Est, une nouvelle escouade d’infanterie japonaise fait son apparition. Bien vite soutenue par l’équipe lance-flamme de Ekko.

Les russes eux, ont manifestement décidé de jouer le flanc ouest. Voilà que le T-34 déboule à toute berzingue, au son de la marche des Tankistes. Le monstre d’acier file à toute blinde pendant que son copilote feuillette le manuel à la recherche du terme « ralentir ».

Mais l’armée impériale dispose elle aussi d’un char, avec un équipage bien formé qui va… entrer sur le flanc Est en profitant du couvert de la rocaille. L’équipage de ce blindé poussif est expérimenté. Pas fou.

Son entrée prudente lui offre l’opportunité d’un tir, dont la cible est la principale menace qui le guette: le ZiS 3 et ses vétérans. Malheureusement, le tir est court.

Le lieutenant Oba le constate de visu en entrant lui même sur le flanc Est pour appuyer personnellement son axe d’offensive.

La réponse à cette masse japonaise à l’Est ne se fait pas attendre et l’URSS envoie… ses Shrafniki pour le ralentir. Les soldats condamnés dévalent la colline. Loin du commissaire mais près des japonais. On peut pas tout avoir.

Dans les brumes du matin, le drame se prépare, tout les protagonistes sont en place.

Les soviétiques sont à l’initiative, le ZiS3 tonne à peine mis en batterie par son équipage vétéran, cherchant à mettre hors combat le blindé qui le menace.

Mais heureusement pour le I-Go, le couvert bien exploité fait de lui une cible difficile et l’obus se perd derrière lui.

Au centre, sans prêter attention au duel d’artillerie, les conscrits filent dans le champs de blé sous la direction de leur caporal. Leur objectif: l’Objectif.

Les Shrafniki eux, sont moins enthousiastes, coincés face au gros des forces japonaises et décident de se mettre en quête d’un terrier de renard où se planquer…

Mais ce ne sont pas eux que cible le canon d’appoint nippon qui tonne!


« Ute! »

Mais bien la menace représentée par la pièce d’artillerie russe et ses servants. Bien que de petit calibre, le tir bien ajusté tue l’un d’eux sur le coup, et désorganise les survivants.

Saisissant l’opportunité, le I-Go se lance en avant de toute la (relative) puissance de son moteur et tente d’achever l’artillerie slave!

Le projectile de 57 siffle au dessus des têtes soviétiques et tombe derrière…

Mais la mitrailleuse de coque du char force les artilleurs à se réfugier derrière le bouclier du canon.


« C’est marrant Yuri, j’ai l’impression qu’on leur fait peur… »

Pendant ce temps là, le sniper japonais ajuste calmement une cible avant de lâcher son tir…

… le chef des conscrits soviétiques s’effondre sous les yeux médusé de ses soldats.


« Chef, maintenant on fait quoi? Chef? Ça va? Chef? Chef? »

A l’Est, Le Lieutenant Oba lance un mouvement coordonné d’infanterie en directions des russes de seconde zone, enveloppant l’objectif afin de profiter du désemparement du flanc ennemi.

Mais à l’Ouest, le T34 manœuvre. Son équipage vient de trouver la page « usage du canon » du manuel et effectue un tir dont nous allons pouvoir constater les effets…

Des que Wanda aura arrêté de jouer avec les effets sur la photo! 


« Attend Igor j’ai manqué un paragraphe. En fait ils disent qu’il faut viser avant »

La stratégie japonaise est claire: balayer l’Est pour s’en servir de base avant d’attaquer le centre, tout en retardant l’arrivée au feu des troupes soviétique à l’Ouest grâce à un flanc refusé.

L’officier russe réorganise ses troupes. Attrapant leur canon, les servants du ZiS3 le roulent à l’abri du char ennemi et le remettent promptement en batterie face au centre.

Des soviétiques couvrent la manœuvre en tirant sur les japonais en approche. L’un des Hetaï est mortellement atteint. Même si le résultat des tirs est peu spectaculaire chez les japonais en sous-effectif, chaque homme compte même si on ne sait pas bien d’où vient le tir.

Probablement pas des conscrit en tout cas. Le Sniper continu à les prendre pour cible et à se débarrasser d’eux un à un. Il veut les forcer à se cacher pour les empêcher d’intervenir contre les troupes de l’Est.

Le ZiS3 n’est pas le seul canon à se redéployer. Les japonais déplacent aussi le leur pour ne pas rester dans l’angle du char adverse. Mais le déplacent vers l’avant! Comme il sied aux soldats de l’Empereur!

Les fantassins, qui jusque là couvraient la pièce contre le char, attendent patiemment que cette dernière soit en sécurité avant de progresser eux même en s’abritant du blindé tout en tirant sur leurs vis-à-vis russes.

Atteint par les tirs nippons, un vétéran s’effondre.

N’ayant plus l’artillerie russe en ligne, le I-Go progresse et appuie les tirs sur les vétérans de son redoutable canon.

Mais les manque.

Bon faut dire, toucher à distance c’est compliqué. Mais l’escouade japonaise de l’Est sais parfaitement comment toucher à coup sur même en cas de myopie caractérisée.

« BANZAIIIIIIIIIIIIIIIII »!

Les Shrafniki mal entrainés, mal équipés et carrément pas motivés sont balayés en un instant, au prix d’un nouveau Hétaï.


« Heu, on peu discuter? Camarade Japonais? »


« Non »

Dans le mouvement, le Lt Oba prend personnellement position sur l’objectif Est.

C’est alors que l’équipage du T34 réussi à combiner les chapitres « déplacer l’engin » et « faire feu » du manuel.

Peut en confiance avec le canon, les apprentis tankistes se concentrent sur les mitrailleuses de coque et de tourelles déchiquetant plusieurs soldats nippons.

Malgré les tirs répétés de sniper et la perte de leur sous-officier, les conscrits ne paniquent curieusement pas et ouvrent presque calmement le feu sur sur les japonais qui viennent de massacrer les Shrafniki.


« Attends, tu veux dire que le caporal c’était le chef? J’croyais que c’était juste une sorte de surnom… »

Heureusement pour le soleil levant, leurs tirs manquent de précision et personne n’est blessé…

Du moins à l’Est…

Mais l’Empire continue d’avancer ses pions et l’équipe lance-flamme Ekko se met en place…

A ce stade, la progression japonaise est importante sur le flanc Est, conformément au plan, bien que le char soit resté à la traine. Néanmoins, le centre souffre particulièrement alors que les troupes Russee du flanc ouest rappliquent à toute vitesse.

Les fantassins nippon, vainqueurs des shrafatniki, continuent leur avancée pour menacer le canon et, en attendant l’opportunité de charger, déchargent leurs fusils dans cette direction pour empêcher l’équipage de leur tirer dessus.

En parallèle, le Sniper Hiro prend pour cible le lieutenant russe. Privé du soutien de leur chef, les conscrits et le canon risque d’avoir le plus grand mal à réagir à la situation.

Mais le sixième sens et la science du déplacement à couvert du lieutenant le sauve  in extrémis. Ou alors c’est qu’il refaisait ses lacets.

En catastrophe, le canon russe est pivoté par ses servants et fait feu sur les japonais en approche, mais si le sang-froid des vétérans leurs permet de faire feu, il ne leur permet pas de faire mouche.

Mais les conscrits réussissent aussi, grâce à la présence du lieutenant, à garder la tête froide malgré les tirs dont ils sont victimes. Sur son ordre, les voilà qui chargent les fantassins japonais et les massacrent!

A peine ses ordres donnés, le lieutenant soviétique se met à l’abri derrière le canon, histoire de pas laisser une nouvelle chance au Sniper…

Assez peu friand d’être pris pour des canards sauvages mais ne pouvant se permettre de charger, les survivants japonais du centre se couchent.

Le groupe LMG, lucide sur son inexpérience, décide que le mieux à faire c’est de rester derrière les vétérans… tout en allant s’emparer de l’objectif.

L’aspect offensif soviétique est pris en charge pas les tankistes qui, depuis qu’ils ont trouvé comment marchait les mitrailleuses, s’en donnent à cœur joie!

Cette fois, ce sont les servants du canon qui en font les frais. Malgré le manque de précision des tankistes novices, l’un des japonais est abattu.

Mais le lieutenant Oba conserve un atout dans sa manche. On lui a confié un peloton squelettique, un canon sous-calibré et un char antédiluvien, mais on lui a aussi fournis un lance-flamme. Et l’équipe lance-flamme d’Ekko est justement parvenu à profiter du mouvement téméraire des conscrits adverse pour les prendre de flanc.

Met le jet de flamme se révèle on ne peu plus décevant. A peine un soviétique transformé en torche humaine! Pire les conscrits, malgré le corps à corps, la perte de leur sous-officier, les tirs subits et les flammes, ne se montrent pas plus impressionnés que ça.

Ils auraient d’ailleurs tort de l’être, car le lance-flammes est vide…


« On passe pour des cons Ekko-san… »

Le lieutenant Oba qui avait coordonné le mouvement est atterré. On ne lui a même pas fourni un lance-flammes plein!

Mais des tirs s’abattent soudain sur le canon et les conscrits!

C’est le I-Go, fermement décidé à ne rien lâcher!

Pour le pays des cerisiers, ça commence à sentir le sapin…

Le lieutenant russe réorganise d’un coup son aile.

Malheureusement, malgré ses cris et ses encouragements, cette fois, personne ne l’écoute. Les conscrits échaudés se plaquent au sol, et les artilleurs tentent de se replier à toute berzingue.

Pendant que le Flanc Est russe panique, le char japonais lui, tente de venir à la rescousse du centre.

La mitrailleuse de coque réussi à abattre un des polaks à la lmg. Quant au canon… comme d’habitude…

Les derniers fusiliers japonais ne bougent pas d’un iota et restent plaqués au sol. Pas par lâcheté, mais par pragmatisme. S’ils tombent, il n’y aura plus personne pour capturer l’objectif central…

« J’crois que j’entends comme un bruit derrière… »

Le T34 à réussi à passer derrière les japonais! Les tankistes en sont à la page « combat antichar » du manuel et ont repéré le I-go. Ils chargent donc un obus perforant et apparentent à tirer et cette fois visent…


« Je crois savoir ce que c’est Kyoshiro. Te retourne pas… »

Par miracle, l’obus arrivant de biais ricoche sur l’une des plaques de blindage de la machine japonaise dont l’équipage accusent le coup.

Mais les russes ne se laissent absolument pas dégonfler par cet échec. La victoire est à porté de main et l’offensive est de mise. Les vétérans presque trop loin lancent la charge sur les nippons tétanisés.

C’est un massacre à sans unique, les japonais, à plat ventre, sont massacrés sans réussir à se défendre le moins du monde.

Comble de réussite, les vétérans russes réussissent à se replier à l’abri du champs dans le même mouvement, s’assurant de protéger l’objectif central en plus du groupe lmg.

Sans tenir compte du danger, la pièce japonaise ouvre le feu pour tenter de venger les hetaï…

Mais le tir échoue lamentablement trop à droite de la cible.

Oba se plaque au sol à son tour. Il faut rester vivant pour sauvegarder au moins un objectif…

L’objectif central n’étant plus en danger, le groupe lmg se dirige vers l’objectif Est pour appuyer les conscrits.

Il n’est plus question pour les impériaux de survivre. Uniquement de contester les objectifs. A cette fin, Hiro et son assistant abandonnent leur position de tir pour courir en direction d’iceux. Le tout pour le tout.

Quant à l’objectif Ouest… le commissaire resté seul s’occupe de le sécuriser. Finalement, personne n’a l’air d’avoir besoin de motivation patriotique.

La situation japonaise est désespérée. Mais ils se sont placés prêt à fondre sur les objectifs pour qu’à la moindre erreur soviétique ils puissent arracher la victoire ou au moins contre-carrer les forces de Staline.

Au sud, le duel de char s’est engagé. Loin de le fuir, l’équipage du I-go l’accepte malgré l’infériorité de sa machine. Il fait feu sur le blindé rouge, espérant qu’à défaut de percer le blindage, son obus explosif sonne l’équipage…

Mais manque sa cible…

Mais ce faisant, il rafale aussi de sa mitrailleuse de coque les vétérans dans le champs et en élimine un. Même si les chances de pousser les vétérans soviétiques à se cacher sont faible, cela ouvrirai la possibilité à Hiro de prendre l’objectif central…

Comprenant que le char japonais restera une menace jusqu’au bout et se sentant vaguement en danger, les tankistes russes chargent un nouvel obus perforant. Cette fois, il s’agit de mettre au but sans ricochet…


« Ca dit quoi quand ça marche pas, dans le manuel? »
« Réessayer »

Mais les tankistes tirent trop à droite. Ce qui pour des Bolchéviques, est un comble.

Mais si les occupants du T34 sont encore des bleus, ils apprennent vite et copient à leur compte la méthode du I-Go qui use de son canon sur un cible tout en mitraillant une autre avec son arme de coque. Et c’est ainsi que l’équipage du blindé russe fait un sort aux derniers artilleurs japonais.

Hiro et son assistant continuent à se rapprocher de l’objectif central, mais même si les vétérans paniquait sous les tirs du char, un simple demi-tour des polonais pourrait être fatal. C’est pourquoi Hiro les arroses de son fusil en passant. Un soldat s’écroule. Ses camarades paniquerons-ils comme des poulets sans tête comme l’espère l’équipe de tireur d’élite?

Participant du mouvement général Oba fonce sur l’Objectif Est. Tout ceci est un gros coup de bluff. Si tout les russes échouent à garder la tête froide maintenant, le miracle est possible.

Seul resterai en possession d’un objectif le commissaire au loin qui a d’ailleurs décidé de s’en griller une à la cool. Quoi qu’il se passe maintenant, ce sera sans lui.

Effectivement, ça concerne le reste des troupes, à commencer par les vétérans qui conformément aux probabilités, ne paniquent pas et chargent l’équipe de tireur d’élite ennemie et la massacre. Les japonais avaient crée les conditions pour exploiter un miracle, il n’empêche qu’il aurait encore fallu un miracle.

De même, le groupe lmg garde son sang-froid et charge le lieutenent Oba, l’expédiant proprement. Non seulement il n’y aurais pas de miracle, mais aucun japonais n’allait en réchapper…

Le lieutenant russe en profite pour courir vers les prises de guerre…

Quant aux derniers vétérans servant le ZiS3, ils se rallient, maintenant que le danger est passé. On a beau dire, leur unité a subi de rudes attaques…

Tout le champs de bataille est maintenant occupé par les soviétiques, objectifs compris.

Tout? Non! Un petit I-Go peuplé d’irréductibles nippons résiste encore et toujours, entouré de coup manqué du T34…

D’un tir, le voilà qui ventile les polonais qui venaient de prendre l’objectif Est!

Le char Héroïque libère ainsi le dernier objectif de l’Emprise soviétique!

« Non mais! »

Mais les jeux sont fait et à la fin des combats, 2 objectifs sont entre les mains des Rouges, pour aucun chez les jaunes qui n’auront pu qu’empêcher les soviétiques de faire le grand chelem.

Victoire (Temporaire) de l’Armée Rouge!

Soviétique: Wanda
Armée Japonaise: Pitaine

Et d’énormes congratulations à Wanda pour les magnifiques bosquets d’arbres rouges tout neufs qui donnent à cette table un cachet formidable (et pour les pions objectifs à ramener manger chez soi!)

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