Pour le Dieu Machine!

Alors que l’Asimov combat à Mérovée, la Station Metrathon du clergé de Mars est de nouveau la cible d’une attaque Xenos.

En effet, ses senseurs longues portées ont repéré deux escadrons d’escorteurs ennemis. Les Lexcamantiens ont tôt fait de les cataloguer. Corvette de classe Iconoclaste et Destroyer de type Infidèle.

Cette fois, les aliens ne sont pas à l’initiative. A peine arrivent-ils en bordure de la zone tenue par les Martiens, que la station qui garde un douloureux souvenir de sa précédente confrontation avec les envahisseurs prend les devant. Rapidement, les bombardiers du Mechanicum jaillissent des flancs de la base orbitale, prêts à se lancer à l’assaut alors qu’une aile de chasseur Fury se poste autour de la station pour en assurer la protection rapprochée.

Quant à la station elle-même, elle souhaite la bienvenue aux intrus à l’aide de lasers longues portées. Ces derniers frappent une corvette, mais les boucliers encaissent le gros des dégâts…

Alors que les servitors des ponts d’artillerie s’échinent à la tâche, les pilotes des bombardiers du Méchanicum directement interfacés à leur cockpits pour certains, fendent l’espace en direction des hostiles…

Ces derniers ne se montrent pas intimidés par cette démonstration de force. Ils continuent à se diriger vers la station, verrouillant leurs armes. Mais les torpilleurs voient leur ligne de tir obstrué par les corvettes. A moins qu’ils n’aient sciemment décidé de ne tirer leurs torpilles qu’au dernier moment?

Alors que les bombardiers sont pris pour cibles par les artilleurs des Infidèles, en pure perte, la station subie un canonnage en règle de la part des Iconoclastes. Les tirs des armes à rayon aussi violent que précis abattent les boucliers et commencent à trouer le blindage de la station déjà bien endommagée.

Mais les bombardiers du Mechanicus n’entendent pas laisser les destroyers approcher. L’un d’entre eux voit une vaste vague d’appareils autonomes l’assaillir.

Ses tourelles complètement submergées sont incapables de faire face et bientôt, les bombes à plasma, équipées de retardateur s’abattent en masse sur lui provocant des explosions en chaîne fatales alors que les bombardiers s’en vont pour réarmer…

À peine revenue à bord de la station, les appareils sont réarmés. Mais ce sera leur dernière mission lors de cette bataille. Les chaînes d’appareils de réserve ont été touchés lors des combats précédents et la station ne pourra pas envoyer de nouvelles vagues ensuite.

Qu’à cela ne tienne, les derniers bombardiers redécollent immédiatement pour filer à nouveau vers l’ennemi alors que les macro-plasma déchirent le vide depuis les ponts d’artillerie de la station pour briser les boucliers des corvettes ennemis. Un prêté pour un rendu, l’une d’elle se brise alors que son cœur est atteint par les éclairs incandescents des armes impériales, les boucliers aliens finissant tous saturés en quelques secondes.

Mais l’agressivité Xenos n’a pas de limite! Les deux escorteurs rescapés foncent sur la station qu’ils verrouillent avec toute leur puissance de feu!

Incapable de recharger ses boucliers à cause des débris et des surcharges cette dernière encaisse de nouveaux dégâts dû aux armes à rayon alors qu’une salve de torpilles tirées à bout portant se dirige vers elle…

… Mais les Fury du Dieu Machine se jettent sur elles et les interceptent proprement avant qu’elles ne purent atteindre la Metrathon.

C’est alors que les pilotes des bombardiers se scindèrent en deux vagues et tombèrent sur les arrières des vaisseaux ennemis. Hors de question que les ennemis de l’Omnimessie ne triomphent en cette subdivision temporelle standard!

Approchant leurs proies par la poupe, les bombardiers Starhawk durent composer avec les tourelles. La Vague s’en prit à l’iconoclaste et fut ainsi amputé de moitié…

Mais cela n’a pas suffit pas à arrêter les engins martiens et ces derniers portèrent une estocade définitive à la flotte Xenos. Seuls quelques débris et les dégâts infligés à la station attesteront de sa présence dans l’espace Metrathon.

L’Imperium était encore Victorieux, mais l’état de l’avant-poste du clergé Martien était critique… L’Asimov reviendra-t’il à temps pour le sauver? En aura t’il seulement l’occasion?

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