Assaut sur les arrières

1935, sur ordre de Mussolini, l’armée Italienne a débuté l’invasion de l’Ethiopie. Les troupes italiennes, mieux préparée, ont largement pénétrée en Abyssinie, alors que la pointe de l’armée progresse sur le front Nord, le Tenante Vitorio est chargé d’assurer la sécurité d’un flanc exposé.

 

Prudent malgré le sentiment de sécurité procuré par la modernité de leur armée et la propagande, les italiens ont fortifié leur positions avec des barricades, placé des barbelé en amont et réglé préventivement leur artillerie.

Il faut dire qu’en sus des arrières italiennes, plusieurs ressources d’importances sont présente dans le secteur. Des futs de carburants destinés aux CV33 et aux camions d’abord, sous la garde vigilante d’une escouade de l’infanterie régulière…

 

Des documents concernant le ravitaillement et les déploiement italiens, bien à l’abri avec du café chaud dans une maison aménagée, derrière(!) la quelle une escouade de chemises noires, détaché au près du Tenantes, a érigé des barricade.

 

 

Et des caisses de sauce tomate pour les pâtes, en arrière d’un observateur d’artillerie guettant depuis les hauteurs…

 

Soudain, des coups de canons se font entendre. C’est l’artillerie Ethiopienne qui tonne! Mais celle ci ne représente pas grand chose et les réguliers italiens ne s’en formalisent pas…

 

Les chemises noires sont moins tranquille. Ce n’est pas la panique bien sur mais… c’était pas sensé être un secteur abrité ici? Et depuis quand les sauvages d’en face ils ont des canons? (Réponse: Depuis avant de vous mettre une peignée à Adoua en 1896 banane)

 

Non seulement les sauvages d’en face ont des canons, mais ils ont des fusils. Certains du même modèle que les italiens, comme le prouve cette escouade de Gascegnas, des combattants traditionnels de l’armée éthiopienne, qui arrivent sur le champs de bataille…

 

D’autres Gascegnas se fraient un chemin dans les obstacles posé par les italiens. Cette fois, ils sont armés de fusils lebels importé de France.

 

Un troisième groupe les dépasses, progressant au centre. Il n’y as plus de doute, il ne s’agit pas d’un groupe égaré, mais bien d’une attaque en règle, coordonnée…

 

Et pour cause: Il s’agit d’une attaque de flanc planifiée et menée par le Ras Mokhet en personne! Le Commandant Ethiopien sait bien que l’ennemi dispose d’un meilleur matériel et d’une meilleure logistique, mais loin d’être découragé, ça l’encouragerai plutôt à se servir!

 

Georgio, le chef des chemises noire, rassemble rapidement ses hommes et les fait pénétrer dans la maison afin de défendre les plans. Si quelques bamboula armés de sagaies veulent se faire trouer la peau c’est l’occasion de faire quelque trophées n’est ce pas?

 

Mais les « bamboulas » ne sont pas « quelques ». Ni armés de sagaies, n’en déplaise à Georgio. Et d’ailleurs ils n’aiment pas vraiment se faire appeler « Bamboula »…  Suivant les hommes mieux équipés, c’est maintenant presque une quinzaine de porteur de fusils anciens, dont des Martini Henry qui vient couvrir la gauche du Ras…

 

Et ce n’est pas tout! D’autres soldats continuent à affluer, porteur cette fois de Mosin Nagan russes…

 

Si les italiens veulent prouver leurs supériorités techniques, sociales et raciales, c’est le moment d’être sûr de leur coup, parce que qu’il y as là des dizaines d’hommes qui ont deux mots à dire sur les ambitions de Mussolini en Afrique…

 

Sur la Gauche Ethiopienne, une escouade s’infiltre vivement dans les canyons. Tout au bout, elle sait pouvoir trouver les stocks de nourriture italien.

 

Les porteurs de lebels, eux se lancent vers la colline escarpé qui les sépare de la gauche italienne. Le terrain est avantageux. Les italiens vont avoir tout le mal du monde à offrir les lignes de tir à leur mitrailleuse avant que les soldats du Negus Negest ne soient en mesure de répliquer. Le temps de leur coller une bonne rouste, et il n’y auras plus qu’à finir la journée sur une bonne Tella bien fraîche…

 

Coté italien, c’est le brans le bas. Une escouade de Bersaglieri déboule pour défendre les caisses de vivre. Il y as des choses qui ne peuvent faire l’objet de concessions!

 

Les éthiopiens continuent à progresser…

 

Mokhet n’hésite pas à prendre personnellement la tête de l’avancée avec ses proches, l’étendard au Lion de Judas Brandit par l’un de ses suivants.

 

Le chef adversaire, il Tenante Vittorio arrive aussi sur  le champs de bataille. Lui n’as qu’un seul assistant.

 

La droite italienne reçois également du Soutient. C’est Vitale, l’infirmier de la compagnie, qui accours avec sa trousse de secours en espérant que les rumeurs sur les balles dum dum utilisé par les éthiopiens soit fausses…

 

Mais au centre, les militants fasciste de Georgio ont décidé de ne pas rester dans la maison. Ils veulent mieux. Ils veulent montrer leur force! Ou quelque chose du genre…

 

Et justement, les Gescegnas d’en face continuent à progresser dans les canyons…

 

Alors que les Ethiopiens avancent et que les chemises noires cherchent comment briller, l’infanterie régulière italienne joue la prudence. Le sous officier ordonne aux soldats de se préparer à faire feu dès que l’occasion se présentera…

 

De son coté, l’observateur d’artillerie active sa radio. La forêt gène un peu son champs de vision, mais il as repéré la tentative de traversée des canyons. Même si le détachement de surveillance italien est léger, il est sensé bénéficier d’une couverture d’artillerie sur demande…

 

 

La vague éthiopienne est bien lancée. Le plan du Ras Mokhet est simple: Profiter des reliefs et des bois pour s’approcher un maximum, puis submerger les italiens aussi vite que possible pour les empêcher de tirer partit de leurs armes automatiques. Ceci fait, s’emparer des ressources ou les détruire avant de menacer directement les convois de ravitaillement…

 

L’artillerie italienne reçois bien le message mais demande confirmation parce que « Nan mais des éthiopiens, qui flanquerai les lignes arrière? Vous rigolez? »

 

Les Bersaglieri eux, ne se posent pas de question. Y’a une menace qui plane sur les pâtes, ça leur suffit.

 

Quelques rafales de la mitrailleuse mettent rapidement au courant les Gascegnas que l’infiltration par les canyons, ça vas pas être si simple….

 

Bien sur ça n’est valable que pour la gauche éthiopienne. A droite, les hommes atteignent la colline escarpé.

 

Alors que les chemises noire ont abandonné la maison et les cartes qui s’y trouvent, l’observateur d’artillerie s’y engouffre, tout en engueulant son interlocuteur à la Radio. « Si je vous dit qu’ils y as des éthiopiens, c’est qu’il y as des éthiopiens bordel de dieu! »

 

Les chemises noires, eux, toujours dans l’idée de quelque exploit guerrier pour affirmer leur statut d’élite politique et martiale traversent un chemin encaissé pour pénétrer dans les bois. Apercevant les africains les plus avancés, ils ouvrent le feu avec la Breda.

 

Deux des Gascegnas s’effondrent. Mais ça ne fait qu’enhardir les autres. Il s’avère que l’escouade à été trié sur le volet par le Ras lui même…

 

Ils vont nu pied mais n’ont martialement rien à envier aux soldats italiens régulier… (jet de bleusaille transformé! L’escouade passe d’inexp à régulière!)

 

Encore plus proche des chemises noires, un autre groupe de Gascenega, mené par un gaillard du nom de Kato s’apprête à pénétrer dans les bois pour en faire sortir les loups…

 

Bien vite, le reste des troupes arrive pour les épauler. Les hommes avec des fusils antiques d’abords…

 

Puis le Ras Moketh et sa suite eux même.

 

Dans un élan de bravoure, les soldats armées de lebels passent devant!

 

Mais c’est exactement ce qu’attendait les réguliers italiens abrités derrières leurs barricade. Ces derniers ouvrent le feu sur les cibles facile que constitue les gascenega en blanc!

 

Les balles qui fusent sont cruelles avec les Ethiopiens brutalement introduit aux réalités de la guerre moderne et la panique commence à se répandre dans les rangs!
(Jet de bleusaille => 1 C’est la merde!)

 

A ce stade les troupes du Ras Mokhet on fait la moitié du chemin. Ou seulement la moitié du chemin, selon comment on résonne.

 

Mais l’artillerie italienne continue à débattre avec l’observateur plutôt que d’ouvrir le feu. « Ne jurez pas! On ne vous as pas appris la politesse là d’où vous venez? »

 

 

Pendant que l’observateur débite tout son répertoire d’insulte à son interlocuteur, les chemises noire ouvrent le feu sur les abyssins qui s’approchent des bois. Deux d’entre eux tombent, mais les hommes du Ras ne panique ni se se sente pousser des ailes cette fois…

 

Par contre, ils ne se laissent pas intimider et pénètrent vivement dans les bois avant de répliquer à bout portant au feu italien…

 

Les balles éthiopiennes coutent la vie à l’un des miliciens italiens qui aurai du écouter sa mama qui lui avait bien dit de pas trainer avec ces vilains garçons…

 

Moins téméraire, les troupes du canyon, elles, font profil bas suite aux tirs des bersaglieri… Personne ne voudrait prendre une balle perdue pour trois spaghetti… Et puis, les copains doivent bien se débrouiller…

 

Sur la colline escarpé par contre, ce n’est pas la même Injera (La choucroute est rare en Ethiopie). Les soldats du Ras progressent dans les rochers et commencent à ouvrir le feu depuis leur position surélevée.

 

Sous la direction d’un certain Ajani, les hommes du Ras ciblent l’infanterie italienne qui défend le flanc gauche de l’armée du Duce.

 

A cette distance et après avoir bougé, les balles s’écrase en majorité sur la palissade sans faire de dégât. Mais néanmoins suffisamment proche des soldats italiens pour que ces derniers prennent la menace au sérieux… La conquête de l’Afrique de l’Est indépendante n’allait peut être pas être si évidente après tout…

 

A l’opposé du champs de bataille, sur le flanc droit italien, les Bersaglieri conservent l’initiative et continuent de progresser vivement tout en maintenant le feu sur les éthiopien du canyon…

 

Ces derniers continuent à baisser la tête. Ce qui leur épargne tout dommage. Et la satisfaction de retenir l’attention de l’élite italienne. On as les triomphes qu’on peut.

 

Au centre, le Ras et sa suite repassent devant! Le leader Ethiopien harangue les troupes sous l’étendard! Quand on l’attaque, l’Empire (D’Ethiopie) contre attaque!

 

Les storm trooper (ça vas, ils sont en blanc et tirent pas droit) Gascenegas ébranlés son Ras-séné par l’exemple de leur commandant et se rallient immédiatement.

 

Au même moment, Vitorrio débarque dans le réduit fortifié des réguliers. Le soutient des Bersaglieri, des chemises noire et de l’artillerie sont une chose, mais il compte avant tout sur ses propres soldats et pour une chose très précise…

 

Ces derniers, avec discipline, arment leurs fusils, pointent la mitrailleuse et ouvrent le feu sur le Ras et sa suite!

 

Les balles fusent autour de la suite du Ras Mokhet. L’un de ses liges est abattu et son garde du corps lui même meurt en prenant une balle qui lui était destiné…

 

Planqué dans la baraque, l’observateur d’artillerie, de rage, ouvre la fenêtre et balance un coup de mousqueton dans les éthiopiens qui avancent. Si l’artillerie se décide pas, il vas quand même pas faire le boulot lui même?

 

Sa vindicte est néanmoins efficace à son échelle, puisqu’un fantassin ennemi s’écroule, une balle en pleine poitrine…

 

Mais ce n’est pas sur un seul fantassin que compte le Ras Mokhet pour vaincre. Voici toute la réserve avec ses fusils de seconde zone qui déboule dans la zone de tir!

 

En face, Vitalli, le médecin commence à serrer les dents…

 

Malgré les pertes, la vague éthiopienne reste nombreuse!

 

C’est à ce moment là que le responsable de l’artillerie accepte d’envoyer une salve. Après que l’observateur se soit excusé pour son langage bien entendu. Et dit « s’il vous plait », tout en se jurant intérieurement d’aller péter la gueule à son interlocuteur à la première occasion…

 

De plus l’artillerie ne tient même pas compte des informations transmises. Heureusement pour les italiens, ça tombe quand même à peu près là ou il faut… Au grand dam des éthiopiens, secoués par les explosions!

 

Profitant de la canonnade, les chemises noires se replient. Les gars de Georgio ont vu les abyssins de près, c’est fait. Maintenant, c’était ptet un chouia près… Les voilà donc revenant sur leurs positions précédente, tout en tirant sur leur poursuivants…

 

Ces derniers usent habilement des couverts et évitent les pertes…

 

Il faut dire que leur situation est précaire, puisque les Bersagliers sont entrain de menacer leur flanc en sus!

 

Ignorant néanmoins les éthiopiens des bois, ils produisent un tir rasant pour tenter d’atteindre les premières lignes qui menacent les objectifs…

 

Toujours retranché derrière leurs barricade, l’unité de ligne italienne continue à tirer…

 

En groupe compact, massé à découvert, les réservistes éthiopiens subissent de lourdes pertes…

 

 

Mais Mokhet prend les choses en main et ordonne un mouvement coordonné général!

 

Chacun sait ce qu’il a à faire! Les fusiliers d’Adjani dévalent la colline en tirant sur les italiens!

 

Puis les réservistes, galvanisé par le Ras, malgré le barrage d’artillerie, les pertes et le stress se jettent droit sur les fortifications ennemies!

 

Le combat rapproché est sanglant! Plusieurs gascenega posent le pied sur la palissade pour tirer à bout touchant à l’intérieur! Mais cette approche hardie. Si elle as raison de deux européens, dont le mitrailleur, spécifiquement visé, elle coute cinq hommes aux africains…

 

Les rescapés, durement éprouvés, se débandent…

 

Dans le même temps, derrière eux, les hommes équipé de lebels s’élancent aussi…

 

Depuis la maison, l’observateur d’artillerie comprend qu’il est repéré et tire dans le tas!

 

Mais c’est peine perdue…

 

Il réussi néanmoins à abattre l’un des assaillants avant d’être massacré par les survivants qui occupent alors la baraque, mettant la main sur les précieuses cartes et le café chaud…

 

Quand au Ras lui même, avec ses deux derniers suivants, il n’hésite pas à avancer au plus prêt de ses troupes et de l’ennemi!

 

Mais les exploits ne sont pas que guerrier lors de cette action. L’un des italiens blessé à la barricade respire encore…

 

Hors, Vitalli, l’infirmier est tout prêt! Ce dernier se porte au secours du blessé et tente d’arrêter l’hémorragie à grand renfort de compresses…

« J’avais dit: Ne prenez pas de balles! Mais on m’écoute jamais! »

 

Fort heureusement pour le soldat, la balle n’était pas une de ces fameuses dumdum. La blessure est nette et, moyennant un bandage de fortune, il peu même ramasser son fusil et poursuivre le combat…

 

Pendant ce temps, du coté des canyons…

« Ils sont peut être partis…Tu crois qu’on peut relever la tête? »
« Surtout pas, c’est vicieux un italien… »

 

Vitorrio et son assistant décident de quitter le retranchement de gauche pour rejoindre la barricade centrale. Mais apercevant le commandant Ethiopien, le lieutenant italien ordonne à son assistant de faire feu…

 

D’un tir précis, il règle son compte au porte étendard…

 

Les derniers instant écoulé ont été particulièrement sanglant. Plus d’une dizaine d’Ethiopiens sont tombé, emmenant avec eux deux italiens seulement. Mais ce bilan déséquilibré ne tient pas compte du fait que c’est bien un observateur d’artillerie et le porteur d’une arme automatique dont se sont débarrassé les hommes du Ras.

 

Une bande de Nègres qui menacent les cartes stratégiques? Le sang des chemises noire ne fait qu’un tour! Les parangons de l’uomo italiano se lancent à l’assaut de la maisonnette!

 

Sauf que… La bande de nègre ne se laisse absolument pas faire par le ramassis de fasciste. Et le poignard de Georgio ne fait pas vraiment le poids face au Shotel de son vis à vis… Si trois africains tombent , quatre chemises noire sont occis et leur chef, Georgio, est capturé…

 

Malheureusement pour lui, alors que l’Ethiopie a ratifié nombre de convention internationales juste avant la guerre, elle n’as spécifiquement pas ratifié celle sur les prisonniers de guerre… ceci dit contrairement à l’Italie qui as bien ratifié la convention interdisant l’emploie d’armes chimiques, elle respecte au moins ce qu’elle as signé…

 

Mais foin de considération juridique, y’a des gens qui se battent pour leur peau. A commencer par le Ras Mokhet qui, tout en donnant ses directives, ouvre le feu sur la barricade.

 

Aussi tôt, les Gascenega qui avait investit les bois les traversent et, du haut de la crête, canardent les Bersaglieri!

 

Dans le même temps, jaillissant de la maison, les derniers porteurs de lebels foncent à leur tour sur la palissade. Le tir de contre charge des italiens fait un massacre!

 

Mais les abyssins ne cèdent pas et atteignent la fortification!

 

Ils sont tué dans le combat, mais parviennent à emporter un européen supplémentaire…

 

Et surtout, l’assaut n’était qu’une diversion! Suivant le signe du Ras Mokhet, les hommes triés sur le volet avec les Mosin Nagan ont profité du combat pour charger à leur tour sans subir de tir défensif!

 

Et cette fois, l’assaut est concluant! Même si la moitié de l’effectif abyssin y passe, la position est submergée et emportée!

 

Vittorio passe derrière l’autre barricade avec son assistant, qui continue à tirer sur le Ras…

 

Le dernier défenseur du Ras s’effondre…

 

Sentant un flottement dans les tirs dont ils étaient victime, les gascenegas du flanc gauche éthiopien, toujours intacts, décident de se mettre en marche et surprennent le mouvement des bersagliers…

 

Les balles volent bas du coté de l’élite italienne…

 

Coté italien, Vitale décide de jouer sa carte et se réfugie à son tour derrière la barricade de son supérieur…

 

Tentant de parler à la menace tout en esquivant les troupes éthiopienne fraîches, les bersaglieri foncent vers le centre du champs de bataille, ne s’arrêtant que pour tirer sur les gascenegas qui les surplombent…

 

Plusieurs soldats noirs imprudemment exposés s’effondrent C’est un carnage… Mais les hommes du Négus ne flanchent toujours pas.

 

Alors que la poussière retombe, il est clair que la bataille est perdue pour les italiens…

 

Le tenante Vitorrio et son ordonnance emmènent les rescapés italiens loin du champ de bataille. Il ne reste plus que le médecin et la plupart des bersagliers… au moins ont ils put mettre les caisses de vivres à l’abris…

 

Le Ras Mokhet est maître du champs de bataille. Mais ses pertes sévères l’empêchent de poursuivre. Sur les cinq groupes de soldats dont il disposait, il ne lui en reste qu’un et les débris de deux autres et tout ses gardes du corps sont tombés.
Malgré tout il peut détruire le carburant des chars et repartir avec les cartes. La seule connaissance de l’attaque devrait perturber les lignes de ravitaillement italiennes.

 

Victoire Ethiopienne!

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