Le Manuscrit de Voisnich [Wermacht VS URSS]

1945. Tout est perdu pour le Reich.

Tout? Non! Le Oberleutnant Herr GroBméchant à reçu l’ordre de préserver à tout prix le mystérieux manuscrit de Voisnich! De sa traduction pourrais venir le salut de la nation Allemande! Qu’il échappe seulement aux alliées et c’est certain! Le cours de la guerre sera changé! Ce manuscrit se trouve justement dans le château dont l’oberleutnant a la charge. Et si depuis qu’il est dans cave de l’état Nazi il n’as pas été traduit c’est… par manque de temps!


Herr GroBméchant, second Lieutenant Vétéran avec SMG…

Malheureusement pour Herr GroBméchant, l’armée rouge est déjà là, tout autour, et la garnison dont il dispose ne se constitue que d’un groupe de dix soldats, chargé de la surveillance à proprement parler, et d’un petit groupe de quatre feldgendarm chargé d’assurer la loyauté des troupes et de surveiller les alentours, mais sans véritable expérience du combat… Mais en même temps que l’ordre d’exfiltrer le volume, l’Etat Major à tenu à le rassurer. Des renforts sont en route! Rien de moins que des troupes d’élites afin de mettre le livre en sécurité. Il ne reste plus à Herr GroBméchant qu’à armer son MP38 alors que ses guetteurs lui signalent du mouvement aux abord de la place…

La Garnison allemande:


Dix soldat régulier avec 8 fusils, une mitrailleuse légère et un pistolet mitrailleur, répartit en deux groupes.

4 Feldgendarm, soldats inexpérimenté avec un pistolet mitrailleur et 3 fusils (et probablement un exemplaire du code de la route)

 

A peine l’alerte retentit que l’archiviste en charge du bouquin se carapate pour se mettre à l’abri dans les bâtiments, laissant le manuscrit en plan. L’Oberleutnant n’as que le temps de répartir ses défenseurs: Le groupe à la mitrailleuse retranché dans une tour pour tirer par les meurtrières. Le second groupe, dans la partie haute afin de couvrir la cour. Avec un peu de chance, les champs de mines à l’entrée du château découragerons les soviétiques d’une approche trop directe… Lui même est descendu dans la cours, avec les Feldgendarms qui se préparaient à évacuer l’ouvrage, il passe en revue une dernière fois ses défenses…

 

 

Le livre est un volume de belle taille, mais facilement transportable sous le bras.

 

Malgré l’effectif ridicule, les soldats du premier groupe bénéficient d’une position très avantageuse…

 

A l’intérieur de la tour, les soldats du second groupe guettent l’arrivée de l’ennemi. Avec leur MG34, leur poste d’observation privilégié et la protection des meurtrières, ils sont presque l’élément clef des défenses du château…

Enfin, les champs de mines de part et d’autres de la porte auront, il l’espère, un effet dissuasif…

 

Déjà, un commando de scoutes soviétiques s’est infiltré près du château dont les parois escarpés sont tout à fait à portée d’une escalade…


5 scoutes soviétiques, vétéranes avec 2 fusils et 3 pistolets mitrailleurs.

 

Rapidement les hommes de la tour se mettent en embuscade. Ivan peut débouler à tout moment!

 

L’Oberleutnant, lui, récupère le livre et remonte les escaliers, pour le mettre à l’abri le temps de l’attaque…

 

Il est rapidement suivit et même dépassé par les gendarmes…

 

Il faut dire que la menace se précise. Un char BT arrive à toute berzingue droit sur la porte du château, prenant bien soin de passer entre les deux champs de mines…

Char léger BT7 régulier avec canon antichar léger et mitrailleuse coaxiale.

 

Visiblement, les soviétiques ont aussi passé un ordre d’opportunité à toute leurs unités disponibles pour converger vers le château. Malheureusement pour les allemands, ce sont des unités d’élites qui arrivent!


Ingénieurs d’assaut soviétiques: 9 vétérans équipes d’armure SN-42, de 8 pistolet mitrailleurs, d’une mitrailleuse légère et d’un panzerfaust.

 

Quand aux scoutes infiltrés, elles sont déjà à pied d’oeuvre pour entreprendre l’ascension…

 

Conscient que les remparts sud vont rapidement grouiller de soviétique, la demi escouade qui surplombait la cour décide de se redéployer au nord, en usant les couvert disponibles…

 

L’Oberleutnant, chargé du manuscrit occulte, se réfugie derrière eux. Jamais les bolcheviques ne l’auront!

« Protégez moi! Ich Bin la lumière! »

 

Soudain, le bruit d’un moteur! Les renforts promis! Un Opel Blitz arrive depuis le Nord Est! Sa trajectoire peu assuré indique un chauffeur novice, mais les troupes qu’il renferme vont pouvoir prendre les soviétiques à revers!

Camion inexpérimenté…

 

Mais déjà, les scoutes soviétiques sont arrivées sur les murs du château!

 

Elles sont chaudement accueillie par la MG34 de la tour qui les attendait de pied ferme…

 

Mais les filles ne sont pas née de la dernière pluie et savent baisser la tête. Les balles ricochent autours d’elle, mais sans en blesser aucune.

 

Simultanément, le char russe enfonce la porte de bois et pénètre dans la cours. S’engageant sur la rampe, il tente de mitrailler les allemands… mais leur position avantageuse et la difficulté de pointer vers le haut les préservent.

 

De l’ouest, d’autres uniformes gris surgissent! De brave soldats aryens promis par l’état major? En fait, il se trouve que Müller et ses hommes sont des membres d’un bataillon disciplinaire… l’état majors, à cours d’expédiant, les as envoyé prouver leur loyauté au régime en allant à la rescousse du château contre une chance de revoir un jour leurs proches en vie… Ils sont compétant, mais leur motivation est au mieux ambivalente…

Escouade de Strafbattalion: 5 soldats réguliers, tire au flanc, avec un pistolet mitrailleur,  une mitrailleuse légère  trois fusils et un panzerfaust…

 

La seconde vague soviétique arrive elle aussi. Voici le lieutenant russe qui arrive à fond de train, prêt à escalader les falaise au coté des ingénieurs. D’après les renseignement, il y as quelque chose d’intéressant ici que les allemands veulent garder, il s’agit donc de s’en emparer!

Lieutenant soviétique régulier, armé d’un pistolet.

Les ingénieurs se lancent à l’assaut des falaises. Avec une facilité assez déconcertante quand on réfléchis à leurs armures et leurs armes. Mais le commissaire a dit « réfléchir c’est trahir »…

 

Mais ils ne sont pas encore en haut et pour le moment, le combat se déroule entre la demi escouade à la mitrailleuse et les vétéranes scoutes. La première continue de tirer à feu nourri sur les secondes.

 

La situation commence à devenir critique pour les filles. Le stress s’accumule et l’une d’entre elle est touchée.

 

Quoi de mieux que des chevaliers en armure pour prendre d’assaut un château et venir à la rescousse des damoiselles en détresse? C’est un peu vieux jeu, mais voilà les ingénieurs d’assaut à pied d’oeuvre sur les remparts! Enfin, des chevaliers en armure, c’est un peu ancien régime… quoique, Alexendre Nievsky, c’est validé idéologiquement non?

 

Dans l’attende des dernières directives de la propagande, les ingénieurs décident de mitrailler les fachistes. Ca, à priori, c’est toujours bon.
Solidement retranché derrière leur meurtrière les soldats de la garnisons ne subissent pas de perte. Mais quelques balles rentrent quand même dans la pièce, fauchant le lustre…

 

En contre bas, le char soviétique poursuis sa monté en mitraillant l’autre demi escouade allemande…

« Alors Tavarish Siegfried! On as peur des dragons? »

 

Les défenseurs allemand gouttent assez peu cette opposition. L’un d’entre eux prend une balle en pleine tête alors que fugacement, un autre se demande s’ils n’ont pas fait une connerie en 33…

 

Enfin installé dans la seconde tour au dessus de la porte, les felgendarm ouvrent à leur tour le feu par la fenêtre en ogive…

 

Mais les scoutes le constatent vite, ce sont de piètres tireurs…

 

Les soldats disciplinaires de Müller s’avancent vers la porte. Ils ont un panzerfaust, il y as un char. Leur rôle semble tout désigné. Même s’ils y vont un peu à reculons…

 

Dans le château, les soldats de la garnisons, réputés volontaires, échangent des coups de feu avec leurs vis à vis soviétiques.

 

Ces derniers le vivent bien. Quelques coups de fusils ne leur font pas peur. Ce qui explique en partie le taux élevé de mortalité dans leur branche…

 

Profitant que les soldats allemand ai autre chose en tête, les scoutes progressent et canarde à leur tour les défenseurs. L’objectif, c’est le bouquin!

 

Mais Herr GroB Méchant vois bien qu’il est la cible!

 

Il décide alors de tenter le tout pour le tout! Si les soviétiques sont monté dans les hauteurs du château, c’est qu’il n’y as personne en bas! S’il peu quitter le château avec le livre, tout est encore possible! Le voilà dévale les marches, tenant le Voisnich d’une main, mitraillant de l’autre!

 

Le camion continue sa folle course. Son chauffeur semble avoir décidé de contourner le château par le sud. A l’intérieur, on aperçois une foule de Stalhelm… sans qu’on puisse déterminer à quelle unité ils appartiennent…

 

Le bruit du moteur, synonyme de secours, conforte l’Oberleutnant dans son choix! Criant « couvrez moi! » il saute dans la cours.

 

Malgré la hauteur, l’officier nazi se réceptionne sans problème, narguant les soviétiques!

 

Ceux ci n’ont pas le temps d’intervenir, déjà les soldaten se sont redéployé pour les canarder!

 

Une balle dans la jambe à raison d’un ingénieur d’assaut. Par la moustache du petit père!

 

Les scoutes elles, ne l’entendent pas de cette oreille viennent se coller au parapet pour mitrailler l’officier allemand.

 

Les tirs trouent sa casquette, mais ce dernier s’en sort indemne!

« Fous ne m’aurrez chamais! Ach ach ach! »

 

C’est à ce moment précis que les désignés volontaires allemands font leur entrée dans la cour.

 

La roquette du panzerfaust part directement dans le postérieur du char et… n’explose pas! Non seulement ces renforts sont des combattants politiquement douteux, mais en plus, le matériel qu’on leur as fournis est visiblement défectueux! Sabotache!

 

Le reste des tirs des nouveaux arrivants sont dirigés vers les scoutes. Le solide parapet les protèges…

 

Toujours à fond les gamelles l’Opel Blitz est maintenant au Sud Ouest du Château! Une arrivée par le Nord Est pour se déployer au Sud Ouest, voilà qui n’est pas courant. Mais Herr GroB Méchant est prêt à tout pardonner pour une escouade de vétéran SS prête à massacrer les bolchéviques!

 

Il faut dire que maintenant que le panzerfaust a merdé, Dimitri, le chef de char soviétique est animé d’un certain esprit de revanche au dépend des pénaux…

 

Au même moment, dans la tour des Feldgendarms, les réguliers à la MG34 font irruption. Ils ont fuit leur propre poste suite à la chute du lustre. « Retournez là bas! » Ordonne le sous officier de la police militaire!
« Vas y toi même schweinkopf! »

 

Devant une telle insubordination, ne sachant pas trop quoi répondre à Helmut, 1m95 90 Kilos, l’unteroffiziert Schultz décide de montrer l’exemple et file avec ses sbires réoccuper le poste vacant.

 

A ce moment là justement, les ingénieurs d’assaut de Boris « le hachoir » décident de s’avancer sur la coursive qui mène à la tour…

 

Mais ils ne s’intéressent absolument pas à celle ci, ni à Schultz. Ce qu’ils veulent, c’est l’Oberleutnant et son livre! Ce dernier saute entre les balles… Et parvient à s’en sortir vivant malgré l’une d’entre elle qui lui frôle la cuisse…

 

Alors que la fusillade fait rage, le Lieutenant Mendeleïev se dit que c’est la bonne période pour émerger sur le rempart…

 

Il as repéré au loin une nouvelle troupe de l’armée rouge en approche à l’Ouest. Une escouade de fusiliers toute fraîche, envoyé par le commandement russe « au cas ou ».

Escouade (gratuite) de 12 soldat inexpérimenté et bleusaille. 12 fusils et autant de grenades antichars…

 

Enthousiastes, les bleusailles tirent sur le premier truc qui leur parait ennemi en ligne de vue: L’Opel Blitz…
Une balle ricoche sur la carrosserie. Une autre casse un phare.

 

L’Oberleutnant GroB méchant sort du château en boitillant. Toujours le livre sous le bras, il s’engage dans un champs de mines en apercevant les russes. Rien ne se passe. Et pour cause l’officier n’est pas (tout à fait) fou. Le champs de mines est un champs de mines antichar. Mais ça les soviétiques ne le savent pas…

 

Rapidement il est rejoins par les disciplinaires qui ont perdu l’un des leurs. Ces derniers comptent bien s’en sortir, et l’escorte de l’officier est une bonne excuse pour quitter le château. Apercevant les conscrits russes, ils ouvrent le feu!

 

La mitrailleuse fait des ravages et deux des bleus se font cueillir en pleine course.

 

Ce traitement ne plait pas aux survivants qui décident de riposter d’un feu nourri!

 

Un feu mortel. Müller et deux de ses kamarades roulent au sol sous la tempête de balles.

 

Dans le château lui même, les tankistes continuent à mitrailler ce qu’il ont à porté. En substance les soldats allemand du parapet. Mais ces derniers tiennent à leur peau et plongent à couvert.

 

Pendant ce temps, Schultz et l’un de ses hommes décident d’arroser un peu comme ils peuvent les ingénieurs de Boris par la fenêtre. Si ces derniers chargent, lustre ou pas lustre, c’en est fini de la tour… et des feldgendarms!

 

Boris lance justement ses hommes en avant…

 

Mais ils se fichent de la tour! Sautant sur le char puis au sol, les ingénieurs filent dans la cours. La mission, c’est le livre que les allemands veulent tant cacher! Des plans d’armes? Une liste de responsable nazi? Des numéro de compte en Suisse? Qu’importe, l’URSS s’en emparera d’abord!

 

Ce faisant, ils arrosent copieusement les fantassins allemands du chemin de ronde opposés. Ceci perdent un nouvel homme alors que les balles ricochent sur les pierres autours d’eux, ajoutant à la pression mise par le char…

 

Echaudé par l’accueil à coup de fusil des conscrits russes, le conducteur de l’Opel Blitz enclenche la marche arrière en baissant la tête derrière son tableau de bord…

 

Mais n’écoutant que son courage, une escouade en uniforme allemand saute depuis l’arrière du véhicule et ouvre le feu sur les soviétiques…

 

Deux hommes tombent… Sont-ce là les fameuses troupes d’élites du Reich annoncée?

 

Pas vraiment… Il s’agit en réalité des soldats de la Division « Das Gro », des collaborationnistes Grolandais engagé dans l’armée allemande en temps qu »IVG », Infanterie Volontaire Grolandaise.

C’est tout ce que l’état major à trouvé… D’ailleurs, alors que la moitié d’entre eux est sortie du camion, l’autre, dirigée par l’Unterofficier Herman Kunst de Mufflins, entendant les balles et pas pressé de se colleter avec les rouges de dehors est resté à bord terminer une bouteille du gros rouge de dedans passkifôpas gâcher hein…

 

Les vétéranes soviétiques restent à couvert derrière le parapet sans bouger. Certes l’avantage est aux forces de Staline, mais elles ne sont pas devenu vétéranes en prenant des risques inconsidérés…

 

Un peu contrarié par leur manque d’allant, le Lieutenant Mendeleïev vient les encourager à reprendre l’avancée.

« Hey, les filles, siouplais… »

 

Mais les défenses allemandes du château ne sont pas tournée vers l’intérieur. L’équipe d’Helmut continue à mitrailler les conscrits russes qui, à découvert devant la forteresse font des cibles faciles…

 

 

Pris entre les feux d’autant de mitrailleuses, les survivants n’ont d’autre choix que se se plaquer au sol…

 

Le dernier des soldats probatoires allemand, avec sa mitrailleuse, en profite pour retourner dans le château pour tenter d’arrêter les poursuivants de l’Officier Nazi. Mais les balles de mitrailleuses peinent à trouver une faille chez les vétérans caparaçonnés de Boris…

 

Et alors qu’Herr GroB méchant en profite pour filer en courant à travers un second Champs de mine (qu’il sait également constitué entièrement de mines antichar) les ingénieurs d’assaut soviétiques, peu impressionné par leur adversaire le charge et le démembrent.

 

 

Passant sur le corps, ils percent rapidement jusqu’à l’extérieur du château, cherchant l’officier et son bouquin des yeux…

 

Au dessus d’eux, depuis les tours du château, la mitrailleuse d’Helmut continue à parler.

 

Prudemment plaqué au sol, les conscrits encore en vie ont compris la leçon. Ils attendant que ça passe

 

Les filles de l’escouade de scoutes n’accordent qu’un bref regard à Mendeleïev qui menace de leurs botter les fesses avant de filer sur le chemin de ronde qu’ont grimpé les ingénieurs. Elles espèrent couper la retraite à Herr GroB Méchant…

 

Leur couverture est assuré par l’équipage du BT7 qui remonte la pente. Dimitri demande un Obus explosif pour déloger les allemands dans les tours…

 

Le coup de canon frappe la tour de plein fouet et éclate à l’intérieur. Cette fois, le lustre est carrément pulvérisé Et accessoirement, les Feldgendarm de Schultz perdent deux des leurs…

 

Baissant prudemment la tête, Mendeleïev retraverse le chemin de ronde au pas de course pour rester avec les scoutes…

 

Voyant d’un coup d’oeil prudent par dessus le volant que les conscrits couché au sol ne sont plus une menace, le chauffeur du camion fait avancer de nouveaux son bahut et lui fait faire demi tour…

 

La première escouade de Grolandais débarqué, galvanisé par son succès, c’était la première fois que leur mitrailleur touchait quelque chose, entrainement compris, avance pour faire la jonction avec l’Oberleutnant. De ce qu’ils ont pigé des ordres… y’a un truc à voir avec…

 

La seconde escouade de Grolandais, et leurs 4g d’alcool dans le sang décident de débarquer à leur tour entrainé par Herman Kunst, qui voit suffisamment double pour penser disposer de la supériorité numérique.

 

Les ingénieurs de chocs subissent stoïquement les tirs imprécis des nouveaux venu.

Quand chauffeur du camion, ayant déchargé sa cargaison, ne se fait pas prier pour s’éloigner dès fois que les russes ripostent, ou que les grolandais se trompent de cible…

 

Pendant ce temps, dans le château, la demi escouade allemande sur le chemin de ronde tente d’exploiter au mieux les couverts.

 

Mais sa paire de fusil est assez dérisoire au vus des soviétiques en face… Quand à la smg… elle n’est même pas à portée…

 

Les conscrits, voyant que les tirs dont ils sont victime connaissent une accalmie, saisissent l’occasion et ouvrent à nouveaux le feu! Sur l’Oberleuteunant lui même!

 

Mais l’officier allemand passe encore une fois entre les balles, avec morgue…

« Chamais! »

 

Les hommes derrière les parapets n’ont pas la même assurance et restent planqué, de peur d’attirer l’attention du char…

 

Les Feldgendarm survivant, malgré des oreilles sifflantes et les tripes de leurs camarades un peu partout dans la pièce, n’ont pas cette prudence (sans doute à cause de l’obusite) et se présentent à la fenêtre pour riposter.

 

Les filles soviétiques le prenne avec philosophie. Le jour où la soit disant race supérieure saura tirer, on en reparlera.

 

Helmut et sa mitrailleuse, eux, n’ont pas manqué de voir que les conscrits s’étaient de nouveau exposé et ouvrent à nouveaux le feu…

 

Ivan Ivanovitch est criblé de balle sous les yeux de Vladimir…

 

La rafale provoque la panique. Mais pas chez les russes…

 

Le groupe de Kunst, pensant qu’on lui tire dessus décide d’un coup de décrocher, doublant même le camion, entrainant l’Unteroffizier grolandais complètement dans le pâté…

 

Profitant que personne ne s’intéresse à lui, Mendeleïev se poste sur le rempart et ajuste son pistolet…

 

Le coup part. Il as bien repéré Herr GroB méchant qui tente de se sauver, le livre sous le bras et riant au nez de ses hommes. Touché à la poitrine, l’officier allemand qui se voyait déjà à Berlin pousse un vibrant « Zum Teufel! » avant de s’écrouler…

 

Dans le château, Dimitri a découvert un nouveau jeu…

« Bouuuum »

 

Helmut et son équipe, concentré sur l’extérieur ne s’attendent absolument pas à être pris pour cible…

 

A tord… L’obus éclate, arrosant les allemands de Shrapnel et de morceaux de maçonnerie…

 

Pendant que ça pète dans le château, l’escouade de Grolandais motivée, bien qu’aussi alcoolisé que leurs collègues, courent sur le corps de l’officier et récupèrent le bouquin qu’il portait. Surement un truc important. Ce faisant ils continuent à raffaler les ivans d’en face.

 

Une balle trouve, miraculeusement au regard de la précision calamiteuse des tireurs, son chemin et abat un ingénieur. Ses camarades plongent au sol. Se faire tirer dessus d’accord, mais là, en face, c’est des malades!

 

Le chauffeur du camion, bloqué par des Grolandais en retraite fait à nouveau demi tour d’un coup de volant rageur…

 

Pendant ce temps, les vétéranes descendent la falaise. Si y’as un coup à jouer, il sera pour elles…

 

A peine ont elles touché terre qu’elles tirent déjà sur les Grolandais de Kunst. Ces derniers en pleine course, en réchappent miraculeusement…

 

Mais les ingénieurs soviétique ont compris qu’on se fichait d’eux avec ces fameux champs de mines et décident d’avancer de manière très offensive, malgré le stress…

 

Ils criblent littéralement de balles les cinq Grolandais qui s’était pris pour des héros.

 

Mais par un terrible retournement de situation, ayant changé de direction après s’être fait tiré dessus par les vétéranes, Kunst et ses gars se prennent les pieds dans le bouquin. Sans trop savoir de quoi il retourne, ils décident de le ramasser…

 

Epuisés par l’assaut, les soviétiques n’ont pas la force de poursuivre et laissent les Grolandais s’enfuir avec leur butin. C’est donc une victoire tactique Germano-Grolandaise, qui n’aura du reste aucune influence sur la fin de la guerre, le Manuscrit, pour peu qu’il contiennent le début d’une information intéressante, n’étant finalement pas traduit, les ressources pour se faire étant de toute façon inexistante. Et de toute façon, les Grolandais aurait été foutu d’oublier à qui il fallait le remettre…

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