Journal de Voyage de Svaïebloumme Hulot, Scribe de la Maison Gemini-Croquet envoyé en croisière dans le Halo, en récompense de son zèle dans l’affaire de la Succession de Lady Croquet
…. L’heure du départ arrive à grand pas. J’admets m’être habitué à cette planète, mais il vas être temps de rentrer. Cette fois ci, je ne passe pas par l’Astroport polaire, mais par l’Astroport Equatorial. Plus ancien que celui de mon arrivée, il est aussi bien plus grand et entièrement construit sur l’eau. C’est ici, m’explique t’on, que passe la majeure partie du fret qui passe par Zegema. L’air marin est vivifiant, mais la hauteur des plateformes et la houle donne un peu le vertige. Un peu comme les exercices des forces de défenses planétaire. J’ai pu apercevoir de hommes de « troupes d’interventions » du gouverneur s’entrainer à sauter directement sur les plateformes avec des harnais grav-chute. C’était impressionnant.
Le Censorium de la planète se trouve également ici. C’est là que sont collecté les donnés et recensement planétaire. Cela me fait penser au travail et j’avoue que mon écritoire me manque.
Des rumeurs parlent d’un bataille spatiale qui aurai eu lieu dans le Halo. Loin d’ici. Je ne suis pas inquiet. Je sais que les forces de sa Majesté Impériale veillent sur les mondes de l’Humanité et les voies commerciales.
Je profite une dernière fois de la nourriture locale. Un poisson entier aux pommes de terres des agri-cavernes. Un vrai délice. Je suis heureux d’avoir rencontré le Confesseur Saunière. Avoir reçu la bénédiction d’un prélat aussi célèbre vaut presque pour un pèlerinage. Je pense qu’il restera longtemps ici, tout dévoué qu’il est à sa tâche. Sa pensée est évidement plus élevée que le prêcheur de rue que j’ai croisé sur la plateforme un peu plus tôt et qui pérorait sur la nécessité de noyer les xénos et les mutants oublieux du premier devoir du citoyen Impérial qui est l’obéissance.
L’un des bâtiments administratif du Spatioport.
D’autant que je puisse constater, toute la structure repose sur d’impressionnant pilotis.
Depuis les plateformes d’embarquement, on peu voir la mer en contrebas…
Nous venons de décoller. Je tente quelques derniers pix par le hublot…