Le Feu contre La Glace

Oyez Oyez, Elfes dits Cynarils

Dans sa tour Le Grand Nabocodonosor , Prêtre d’Hashut, Lige du Grand Prêtre Khal Ahenchois, Gardien des Terres du Grand Taureau, flamme qui brille dans les fonderies, Puits de mazout Insondable, a Ouï votre armée, traversant plaines et Vallées et en est courroucé.
Ne savez vous pas que tout ce qui se trouve à l’Est du Bord du Monde appartient à Hashut, béni soit son nom?
Voilà que vos gens parcourent nos terres, buvant notre eau, posant le regard concupiscent sur nos mines. Et en arme qui plus est!
Mais Nabocodonosor est Magnanime et consent à laisser votre expédition passer librement. En échange vous lui offrirez neufs jeunes elfes, afin que ces derniers soit sacrifiés à Hashut Père des Ténèbres, loué soit il.
Sans quoi, Nabocodonosor, lâchera sur vous ses hobgobelins afin de vous châtier.
Ainsi parle Nabocodonosor Prêtre d’Hashut, Lige du Grand Prêtre Khal Ahenchois Gardien des Terres du Grand Taureau, flamme qui brille dans les fonderies, Puits de mazout Insondable.

Le message avait le mérite d’être clair.
La Colonne Elfique avait déjà abordé l’ascension des montagnes des larmes et Nabocodonosor avait sauté sur l’occasion. Hashut ne recevait pas souvent d’elfes en sacrifice. Défaire ces elfes perdus loin de chez eux ne serait qu’une formalité.
Mais contre toute attente, les natifs d’Ulthuan avaient grandement été impressionnés et, tremblants, avait accepté toute ses exigences!

Normalement, Nabocodonosor se serai contenter d’envoyer son Zarandhim, Lérodravel, avec un parti de tromblonniers et une forte artillerie pour secouer les étrangers mais il ne résista pas à l’envie d’aller humilier les elfes en personne, enfila ses gantelets magiques, son collier enchanté et convoqua ses suivants.

Le Premier était évidemment le Zarandhim Lerodravel, fidèle âme damnée de Nabocodonosor . Le héros nain pouvait compter sur sa réputation de tortionnaire pour garder les hobgobelins dans le rang et sa hache flamboyante et magique lui conférait une vivacité surnaturelle que lui envieraient les elfes. Il fut chargé de diriger la troupe.

Bien évidemment, au sein de celle ci et pour assurer sa sécurité, Nabocodonosor emmena sa garde personnelle, La fameuse Garde Noire de Sanova, composé de nains ayant juré de le protéger de leur vie, armée de terribles bardiches et couverts de lourdes broignes d’écailles, aux boucliers frappés d’un crâne fêlé.

L’affaire était néanmoins sérieuse. Les oreilles pointues pouvait toujours trahir si elles se sentaient en sécurité. Alors, il prit la précaution de lever son régiment de Tromblonier parmi les nains de son clan. Ces derniers, menés par l’irascible Lognaise constituait sa force principale.

Pour faire bonne mesure, il convenait bien sur de déplacer de l’artillerie. Mais Nabocodonosor se contenta de convoquer les chefs artilleurs Minations, chargé du mortier trembleterre, et Rderline et son lance fusée. Il épargna le trajet à son autre lance fusée. Inutile face à des elfes déjà soumis et en présence de sa propre magie.

 

Enfin, car les tâches ingrate doivent être faites, il emmena un parti d’archers hobgobelins de ses serviteurs.
Menés par le Borgne, ils s’occuperaient de parler aux elfes, ajoutant à l’humiliation de ces derniers de ne pas traiter directement avec leurs bourreaux, mais avec les subalternes de ceux-ci…

 

A la dernière minute, Nabocodonosor eu un scrupule. Le messager avait eu beau être plus que rassurant sur la soumission des elfes, ce n’était qu’un gobelin et mieux valait ne pas se fier entièrement à son estimation. Ni à la parole des étrangers. Le potentat Nain envoya Lérodravel prendre langue avec le Boiteux. Ce peaux verte régnait sur les bas fond du ziggourat et avait quelque influence au sein de la lie hobgobeline qui y vivait. Le boiteux rassembla un régiment ad hoc de ses semblables pour gonfler l’armée, en échange de quelque menue récompense. Nabocodonosor ne le savait pas, mais cette décision devait changer le cours de la bataille.

 

Une brise glacée soufflait sur le plateau enneigé ou l’armée de Nabocodonosor rencontra les elfes. Il s’agissait d’un petit partit, détaché de l’Ost Principal.

 

Les elfes sont commandé par Belhur. Ce dernier a été envoyé par le Prince Lyfcael Cynaril en personne pour surveiller cette armée inconnue qui s’approche de l’expédition elfique. Belhur est infirme. Ses jambes ne le portent plus depuis longtemps, si ce n’est à grand renfort de drogues et sur de courte distances.
Mais sa sagesse et son talent à la conduite d’attelage sont renommé et le prince sait ce qu’il fait en lui confiant ses troupes. Ce que ne sait pas le Prince, c’est ce que veulent exactement ces étranges nains et leurs alliés peaux vertes.
Belhur et sa troupe ont donc pour mission de les tenir en respect et de les dissuader d’attaquer. Et pour mieux les intimider elle compte rien de moins que les capes pourpres, la redoutable garde de la Maison Cynaril.

 

Second régiment confié à Belhur, les lanciers des Boucliers de Jais. La Mage Astriel s’est jointe à eux. Ils sont largement en dessous de sa condition, mais ses talents magique leur seront profitable et le Prince lui sera reconnaissant de se charger de soutenir son détachement au cas ou les cours sur pattes seraient capable de magie.

 

Sur la gauche de l’armée elfique, une poignée d’archer aux armes des Cynaril prend également position au cas ou un tir de semonce serai nécessaire.

 

Mais Belhur est un elfe prudent. Même si les intensions hostiles des arrivants ne sont pas avérés, il sait qu’ils disposent d’une artillerie importante et a chargé un petit groupe d’éclaireurs de flanquer la horde…

 

Les deux armées sont face à face…

Les nains du Chaos sont perplexe… Qu’attendent donc les elfes pour tenter d’engager le dialogue? Oseraient ils les défier?

 

Nabocodonosor qui commence à trouver l’endroit un peu frisquet décide d’incanter le sortilège des poings de feu.

 

Mais le sortilège ne fonctionne pas! Pire, il semblerai que les elfes ai osé le contrecarrer, empêchant par là Le Grand Noboconosor, Prêtre d’Hashut, Lige du Grand Prêtre Khal Ahenchois, Gardien des Terres du Grand Taureau, flamme qui brille dans les fonderies, Puits de mazout Insondable de se réchauffer paisiblement les mains par ce froid de Gnoblar!

D’un geste, il fait signe à Mination de remettre les idées des elfes en place avec un coup de semonce!

 

L’Obus massif éclate entre le traineaux de Belhur et la Garde Cynaril, soulevant des gerbes de neige et faisant trembler le sol!

 

Deux elfes mordent la poussière et les vibrations sont ressentit jusque chez les boucliers de jais. Mais pour les capes pourpres et l’attelage de Belhur, c’est plus qu’un ressentit, ils titubent sous l’impact!

 

Pour faire bonne mesure, le Lance Fusé de Rderine crache également un missile qui fusent en direction des elfes…

 

Les capes pourpres, déjà un genoux à terre, voient passer la fusée au dessus de leur tête. Cette dernière explose derrière eux, les arrosant de neige fondue.

 

Avec toute la méchanceté dont ils sont capable, les archers hobgobelins délivrent une volée de flèche droit sur les elfes qui leurs font face.

 

Les traits noircissent brièvement le ciel, déjà bien gris, avant de tomber dans les rang des lanciers elfes. Deux d’entre eux s’écroulent, blessés.

 

Après cette démonstration de force, les Nains de Zharr Nagrund, habitué à affronter de lâche hordes de peaux vertes s’attendent à ce que les étrangers baissent les armes. Il n’ont même pas une pièce d’artillerie! A peine quelques rangs de guerriers frêles caché derrière leurs boucliers…

Mais que neni! Les rangers Cynaril escalade la colline, prêt à menacer les artilleurs de Nabocodonosor!

 

Et les boucliers de jais s’élancent en direction de l’armée des Terres sombres. Belhur et la Garde entreprennent aussi de progresser, encore ralentit par les séquelles de l’explosion….

Les elfes n’ont visiblement jamais eu l’intention de céder quoi que ce soit! Se pourrait ils que les informations de Nabocodonosor fussent erronés? Ou est-ils d’ailleurs, ce fichu messager?

 

Et bien pas très loin… Après avoir reçu l’ordre de Naboconosor d’aller porter son ultimatum aux elfes, Snogrot s’était bien rendu dans la montagne… Mais au moment d’approcher les elfes… face à leurs sentinelles, il avait eu une hésitation. Non seulement cette race le mettait mal à l’aise mais en plus, il doutait que le message soit bien pris… En plus il faisait froid. Il était donc repartit directement faire son rapport au Prêtre d’Hashut.
Bon, bien sur il ne pouvait pas dire qu’il n’avait pas fait sa mission… Ou prétendre que les elfes allaient refuser. Déjà il n’en savait rien et en plus ça risquait de mettre de travers le nain du Chaos et Snogrot avait sentit que ce n’était pas une bonne idée… Autant dire que les elfes étaient d’accord.

Ca semblait malin sur le moment, mais Nabocodonosor risquait à tout moment de s’apercevoir de la supercherie. Il avait donc pris la poudre d’escampette, préférant à nouveau braver le froid pour se trouver une planque loin de tout ça.

 

Pas de bol, c’était pile là que les deux armées allaient finalement s’affronter, et entre les elfes qui l’avaient aperçu et devaient se demander à quoi rimait tout ça et les nains du chaos qui devaient avoir remarqué son absence, les généraux des deux camps allait probablement vouloir lui poser quelques questions…

 

Bien décidée à faire goûter à ces nains présomptueux la puissance de la Magie elfique ainsi que d’abréger cette ennuyeuse bataille qui débutait, Astriel fait appel au vent des cieux pour invoquer la terrible commette de Cassandora en plein dans la ligne de bataille adverse…

 

Mais en fait de vent de magie, seule une brise un peu fraîche se fait sentir…

 

Belhur tend son arc.

 

Mais la flèche qu’il décoche au lance fusée est sans effet.

 

Le groupe d’archer tend lui aussi ses cordes. Un souffle plus tard, une volée part!

 

 

Les traits elfiques filent vers les archers hobgobelins. Deux peaux vertes sont fauchés.

 

Le doute n’est plus permis, la bataille est engagé. Les armes solderont le différent…

 

En prévision de l’inévitable choc avec l’ost elfique, les Archers hobgobelins du Borgne se reforment. Non loin, les combattants hobgobelins du Boiteux se préparent aussi à la rencontre avec l’Ost elfique… En reculant de quelques pas… L’air de rien…

 

Naboconosor lui même, aimerai invoquer un nuage de cendre pour gêner les gens de trait adverse, mais il sont loin… Il décide donc d’enflammer ses poings. Voilà qui servira si les elfes tentent de se frotter à lui et à sa garde.

 

Sur sa droite, le Trembleterre Tonne encore. Les servants ignorent délibérément les éclaireurs elfes pour continuer à bombarder le gros de l’Ost….

 

Et l’Obus retombe sur l’Attelage de Belhur!

 

Par miracle, les loups sont épargné, mais l’onde de choc balaye les gardes et les boucliers de jais qui peinent à garder leur équilibre.

 

Sans leur laisser une seconde, le lance fusée tire à son tour.

 

Trop cours cette fois!

 

 

Décidés à faire taire l’artillerie ennemie, les rangers elfes chargent l’équipage du Trembleterre. Les nains empoignent leurs armes de mêlée.

 

Péniblement, l’infanterie elfe se relève et reprend son avance, dépassé par Belhur et son attelage…

 

La sorcière elfe fait un nouveau signe. Toujours celui de la Comète de Cassandora…

 

Cette fois, une ombre inquiétante apparait au dessus des rangs maléfiques. Levant la tête, les guerriers de Nabocodonosor peuvent apercevoir la menace qui leurs vient des cieux…

 

Mais les hauts elfes de Chrace n’ont aucune intention de tout laisser reposer sur la magie et leurs archers lâchent une seconde volée de flèches.

 

La précision des traits elfiques et redoutable et coûte cher à leurs homologues hobgobelins outrés.

« Hey, normalement, c’est nous qu’on tire! »

 

Belhur est moins heureux. Il tire une nouvelle flèche sur le canon à fusée…

 

Mais ne peu abattre un servant.

 

Ses éclaireurs sont aussi à la peine. Non seulement ils ne réussissent à tuer aucun artilleurs, l’un des elfes, touché d’un revers en plein visage, s’écroule. Les tirailleurs, conscient qu’eux seul empêchent leurs frères d’armes de recevoir des obus dévastateurs, décident de poursuivre l’affrontement tout de même.

 

La Haut dans le ciel, la comète grossis…

 

Hors de question de rester dessous pour les hobgobelins du boiteux. Ils s’empressent de répondre à l’ordre d’avancer que leur donne Lérodravel. Le nain lui même quitte les tromblonniers pour se mettre en position de flanquer le char elfe.
Dans un mouvement parfaitement coordonné, la garde noire et les archers hobs s’élancent eux aussi à la rencontre des oreilles pointues…

 

Les guerriers sont à portée de jurons! Les insultes fusent!

 

Nabocodonosor, invoque une fois de plus le sortièges des poings ardents, juste au cas ou…

 

Soudain, la comète flamboyante qui menacé de s’abattre sur les trombloniers disparait!

Lérodraval aurait il quitté l’unité pour rien? Non, il est en embuscade dans la neige, prêt à flanquer ce qui vas arrivé…

 

La sorcière elfe n’en revient pas. Sa magie à été dissipé?

 

Evidemment qu’elle l’as été! Le rire du Sorcier nain du Chaos Retentit. Il agite les poings face aux elfes!

 

Et soudain, tonnent les canons! Le projectile du lance fusée éclate loin sur la droite de Belhur!

 

Les tromblons crépitent à leurs tour!

 

Cette fois, l’équipage du Noble elfe n’est pas épargné. Un loup est blessé par les éclats et des bouts de bois sculptés volent, transformé en échardes par la volée de plomb…

 

Quelques traits d’opportunités partent des rangs hobgobelins…

 

Mais sans vraiment faire de mal aux elfes.

 

Mais la pièce principale des nains, le Mortier Trembleterre ne peu tirer. Ses servants se débattent dans un furieux corps à corps avec les éclaireurs elfes. Un nouveau tirailleur s’écroule, le crane fracassé par un coup masse. Mais cette fois, un elfe parvient à plonger son épée à travers la broigne d’un des servants, faisant éclater les écailles de métal en transperçant leur porteur!

 

Les deux derniers Dawizharr, pressé par le nombre, perdent pied et recule d’un pas, puis de deux, et finissent par tourner le dos. Fatale erreur… voici Nabocodonosor privée de sa pièce d’artillerie principale…

 

Clamant le cris de Guerre des Montagnes de Chraces, les Boucliers de Jais chargement les archers Hobgobelins. Mais, répondant avec un plaisir évident à un signe discret des Dawizharr, le Borgne ordonne la fuite de ses troupes.

Astriel et les guerriers elfes redirigent alors leur charge sur la Garde Noire qu’ils percutent dans un grand fracas.

 

Belhur charge également. Grisé et porté par la vitesse bien mieux que n’importe la quelle de ses drogues, il fond sur le lance fusée et ses servants, prêt à leur faire regretter de ne pas avoir mis au but quand il était encore temps.

 

L’engagement de la mêlée laisse les archers Cynarils sans cible. Mais pas sans objectifs. Ils quittent lestement leurs positions pour franchir d’un bon les barrières sur leur gauche. Ils s’en vont trouver ce fameux messager…

 

Dans un déluge d’énergies magiques, la mage Astriel déchaîne ses pouvoir et convoque le présages de Far puis la Tempête de Chronos qui s’abat sur la mêlée, frappant les nains, épargnant les elfes. L’un des Dawi choit alors que ses camarades enfoncent leurs pieds dans la neige pour résister aux bourrasques.

 

Mais avant même que les nains n’ai pu se ressaisir, les lames elfes aidé par les pouvoir de la magicienne prélèvent un lourd tribu sans que les Noires bardiches n’ai seulement le temps d’être levée…

 

Abandonnant leur bannière et leur courage aux elfes insulaires mais pas leur maître, les guerriers de Sanova tourne les talons et emportent Naboconosor au loin sous les quolibets elfiques.

 

De l’autre côté du champs de bataille, sans surprise, Belhur et son char passent littéralement sur le canon et ses servants avant de quitter l’aire de combat, emporté par son élan.

 

Mais Nabocodonosor n’as pas encore dit son dernier mot. Lui aussi sait faire de la magie. Il rallient sa garde pour faire à nouveau face aux elfes. Il est hors de question de laisser les Cyrnarils l’emporter ainsi! Son armée est loin d’être défaite et il lui reste encore la majeure partie de ses guerriers!

 

Mais il semblent que parmi eux, le borgne ai sur-interprété les ordres, a moins qu’il est échoué à les faire comprendre à ses troupes…. La fuite « feinte » de ses archers se révèle une fuite tout cours et ces derniers quittent le champs de bataille…

« Moi, on me dit de fuir, je fuis… »

 

Naboconosor, conscient qu’il doit compenser la couardise de ses troupes, incante. D’abord, ses mots de pouvoir provoque une nouvelle fois l’apparition de flammes ardentes autours de ses poings. Puis, il les dirigent vers les elfes pour les affliger d’une nuage de cendre et reprendre l’initiative…

 

C’est sans compter sur la sorcière elfe dont les paroles chantent et transforment la cendre en flocon de neige dispersé dans le vent. Le maléfice est dissipé.

 

Chargeant à travers les dernières veloutes de mana au cri de « Cynaril! Cynaril! », les lanciers elfes et la magicienne percutent une fois de plus le bataillon de garde du corps afin de s’occuper du potentat nain une bonne fois pour toutes!

 

Belhur a lui aussi refait son apparition sur le champs de bataille par une preste volte. Mais celle ci a été anticipé par ses ennemis et les tromblonniers se sont reformé pour l’attendre…

 

Les archers Cynarils se mettent en place, prêt à couvrir leurs frères en cas de besoin.

 

Sans oublier de chercher le messager dont la cachette ne fera pas long feu…

 

Menant les Lanciers, Astriel multiplie les présages de Far pour soutenir les bras elfiques, alors que les éclaireurs Cynarils descendent les marches de la colline maudite…

 

Belhur, manoeuvrant, ne peu pas aller plus vite que ses loups. Mais il peu lâcher une flèche. Le trait se plante dans l’oeil d’un tromblonnier.

 

Mais l’Orgueil de la lanceuse de sort lui a fait oublié la prudence. En entrainant les lanciers à la charge, elle se trouve nez à nez avec Naboconosor dans la mêlée, dont les poings sont toujours ardent. Le Prêtre d’Hashut, laisse éclater sa rage et massacre la magicienne.

« Ca t’apprendra, Par Hashut et sans déconner! »

 

A ce prix les elfes ne mettent qu’un seul nain à terre, même si le font serré empêche leurs ennemis de leur retourner les coups. Les deux camps, cette fois, restent au combat.

 

Et c’est là que tout vas se jouer car la troupe du boîteux, encore intacte se présente désormais sur le flanc des elfes avec le Zarandhim. Si Lerodravel est un peu cours pour charger, les Hobgobelins eux sont à bonne distance. Pour une fois, ce sont les nains qui servent d’appât pour permettre aux hobgobelins de briller…

 

Mais alors que Lerodravel lance la charge… Les peaux vertes commencent à se barrer discrètement en crabe et le nain part seul!

 

Les Tromblonniers eux, au moins, chargent. Belhur lance un défi plein de Morgue à Lognaise, leur chef. Il sait qu’en évitant ainsi d’affronter tout le groupe, ses chances de survie sont meilleure. Mais le nain l’ignore et fait signe à ses guerriers de passer devant et d’écharper elfe et loups.

« Viandez moi ça! »

Les loups sont étripés. Le chars réduit en petit bois et Belhur tombe dans la neige, à la merci des Nains connu pour n’en avoir aucune…

 

Mais battant des bras, frénétiquement, l’Aurige disparait en un éclair, au prix d’un Crawl de compétition dans la neige, devant des nains médusé qui se regardent les uns les autres, sidéré par la performance au point de ne poursuivre que mollement…

 

Quand à la Garde Noire, abandonnée par la trahison hobgobeline, elle se bat seule. Mais sans bannière auprès de la quelle se regrouper, acculé par le surnombre des elfes, elle fini par craquer…

 

Sans bannière auprès de la quelle se regroupé, acculé par le surnombre des elfes, elle fini par craquer… cette fois les nains sont culbuté et ne parviennent pas à s’échapper. Les elfes désarme et capturent les rescapés, dont le Prêtre D’Hashut lui même…

 

Cette fois, les elfes ont définitivement percé la ligne!

 

Mais l’elfe ne reste pas longtemps en fuite. Hors de danger, il attrape l’une de ses potions, la bois et se hisse péniblement sur ses jambes. C’est debout, quoi qu’il en coûte qu’il finira la bataille.

 

Lorsque revienne les lanciers, le champs de bataille est bien vide derrière eux. Lerodravel seul est bien obligé de constater la débâcle…

 

Mais les elfes ne le laisse pas en paix pour autant, il doit encore subir les flèches des éclaireurs. Imperturbable, il les dévies de son bouclier.

 

Las! Le régiment d’archer lui aussi lâche une volée sur le nain isolé.

 

Mais le Zarandhim se contente de lever son bouclier bien haut en regardant son maître être emporté, alors que la grêle ricoche autour de lui.

« Grumpf »

 

Quand à la seule unité encore en état ET loyale, son manque d’engagement sur la poursuite de Belhur a dangereusement exposé son flanc et la Garde Cynaril, trop heureuse d’enfin arriver au contact en profite…

 

Sans surprise, les derniers nains sont balayé et mis en déroute par l’élite elfique…

 

A vue d’aigle, la victoire elfique est totale et sans appel. Lerodravel se sent bien seul, si on ne compte pas les hobgobelins du boiteux. Et on ne compte pas les hobgobelins du boiteux!

« Allez patron, on rentre? »

 

Pour les Dawizharr, c’est un désastre treize nains et six hobgobelins (les lâches!) au tapis, 6 autres nains prisonniers, dont Nabocodonosor en personne!

Fort de cet otage de choix, Belhur rejoins la colonne, porté par ses hommes. Bien que cela ai couté son char et la vie de quelques elfes, l’expédition peu poursuivre en sécurité… Pour le moment!

 

 


En remerciant très fort Chogoris de m’avoir permis d’affronter sa magnifique armée d’elfes des neiges et mes amis de Grenoble de nous avoir hébergé!

Pitaine.

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